du repos.......

Depuis sa dernière maladie, une grippe, Akito était plus fragile encore. C'est pour cela que Hatori lui avait conseillé d'aller se reposer à la montagne. L'air vivifiant des hauteurs lui ferait le plus grand bien.
Donc par une matinée ensoleillée, le manoir vit partir Akito accompagné de Kuréno pour le chalet de la famille Sôma situé au pied du mont Fuji. Ils firent le voyage en voiture et arrivèrent à destination dans le courant de l'après midi.
La maison était faite de facture traditionnelle, en bois et papier. On y accédait par un portail à l'ancienne qui se referma sitôt les visiteurs arrivés. Des servantes et un maitre d'hotel sortirent aussitôt pour les acceuillir. Akito descendit et sans même un regard pour le personnel se dirigea à l'intérieur. Voyant que le coq semblait trainer, il se mit à ronchonner.

"Dépêche toi, Kuréno! J'ai froid et le voyage m'a épuisé! J'ai envie d'un bon thé pendant que tu me feras la lecture!"

Kureno avait suivi Akito à la montagne plus par obligation que par plaisir,se retrouver seul avec le chef de famille ne l'enchantait guère.Il aurait préféré rester seul au manoir à lire dans sa quietude habituelle.Mais Akito en avait voulu autrement et Kureno avait donc du le suivre à contre coeur. Le coq ne dessera pas les dents pendant le voyage encore moins quand ils furent arrivé.Il traina donc les pieds comme un enfant.

Akito l'interpella pour lui repprocher sa lenteur Kureno marmona une reponse à peine audible."Desolé Akito".

Kureno entendit à la suite ce que Akito voulais faire: l'entendre lire. Le Coq detestait lire pour celui ci en effet il n'etait jamais content sois de la lecture ou du livre,parfois les deux. Kureno adorait lire et supportait de plus en plus mal de voir le petit chef de famille critiquer un oeuvre pour un defaut inexistant juste pour avoir le plaisir de se sentir superieur à l'auteur.

Le Cop suivi Akito dans la maison,celle ci etait somptueuse. Commencait deja un balais de servante pour servir le thé sans doute deja près les servantes ayant devancé les envies d'Akito.Kureno attendit avec patience que le chef de famille s'installe.

"Que voulez vous que je vous lise aujourd'hui Akito"Il avait dit cela sur un ton qu'il esperait neutre et sans mechanceté.

Akito s'assit dans un sofa et se mit à déguster son thé. Pour une fois, celui-ci était parfait! A moins que ce ne soit du à la présence du coq qu'Akito appréciait énormément même s'il ne le disait jamais. Il s'installa confortablement et désigna d'un regard un livre posé sur une table.

"Tu n'as qu'à commencer par celui-ci! Je ne sais pas de quoi cela parle mais j'ai demandé un ouvrage à la mode!"

Il se releva tant bien que mal, prit le volume dans une main et le lança sans ménagement à Kureno.

"Tiens! Commence avant que je m'ennuie à mourir! Tu ne voudrais tout de même pas me mettre en colère!"

Il retourna se prélasser dans le sofa et attendit que la lecture débute. Il se mit à boire sa tasse de thé à petites gorgées. Il savourait cet instant comme une victoire! Jamais au grand jamais, il ne laissera les douzes lui échapper! IL allait profiter de ces vacances forcées pour mettre au point un nouveau plan de conquête!

Kureno attrapa le livre que lui avait jeté Akito, il observa la couverture pendant un moment. C'etait un roman à l'air mediocre pas un de ceux que Kureno préférait. Non c'etait un roman à la mode qui plaisait à ceux qui aime lire un livre de temps en temps sans trop avoir à chercher pour comprendre.

Le Coq ouvrit le livre et le parcouru avant de commencer à lire.Puis il commenca d'une voix calme et posée sa lecture. Le livre etait un livre fantastique dans lequel regait plus les dialogues que les belles phrases que Kureno cherissait tant.Mais il continua à lire sans s'arrêter, il ne souriait pas gardait les yeux fixé sur le livre. Sur son visage on aurait presque pu dechiffrer l'ennuie qu'il ressentait, le mepris pour se livre qui etait loin de ce qu'il avait l'habitude de lire. Mais Akito n'appreciait pas la grande litterrature car souvent ne voulais pas s'embeter pour reflechir au sens de l'oeuvre.

Kureno s'arreta pendant quelques seconde pour regarder le paysage par la fenetre situé en face de lui, c'etait magnifique le soleil baignait ces paysages montagneux qui respirait le calme et la quiétude qu'il affectionnait tant.Il sembla se rendre compte de son absence et se retourna vers le livre pour continuer sa lecture.

akito s'arrêta de boire quand le silence se fit. Il se retourna vers kureno et le surprit en train de rêvasser par la fenêtre. Il jeta un rapide coup d'oeil pour voir ce qui retenait son attention. Un grandiose coucher de soleil enflammé les montagnes alentours. Akito se leva sans faire de bruit et se posta derrière le coq. Il se pencha doucement en avant et murmura:

"Et si nous faisions une petite promenade jusqu'au lac? La vue doit y être magnifique à cette heure! Tu pourrais continuer la lecture sur la berge. qu'en dis-tu?"

Il fit le tour, prit la poignée de la porte-fenêtre et l'ouvrit. Aussitôt une odeur de sous-bois emplit la pièce. Un mélange de résine de pin et de fleurs printanières! Akito ferma les yeux et inspira longuement. Sa décision était prise!

"C'est décidé! Nous allons au lac! Vas nous chercher une couverture et un manteau! Il ne manquerait plus que je tombe à nouveau malade!"

Kureno fut supris par la réaction d'Akito, il y a quelques temps il se serait mis à crier, à s'ennerver conte lui pour son moment de reflexion. Après ce moment de surprise passé il se demanda pendant quelques seconde si le chef de famille ne se moquait pas de lui.Il ne repondit pas tout de suite et laissa Akito aller jusqu'à la fenetre. Quand celui ci lui ordonna d'aller chercher des couverture et son manteau le Coq sut qu'il ne plaisantait pas. Il se leva doucement en souriant pour s'executer.

"Avec plaisir Akito,il est vrai que Hatori vous avez recommendez l'air pur si vous vous couvriez bien. Je veillerais donc à cela."

Kureno partit chercher chercher des couverture qu'il enfoui dans un petit sac qu'il avait pensé à prendre il y ajouta le livre en question et un second au cas où celui ci ne plairait pas au jeune chef de famille. Il ajouta dans le de quoi manger et de quoi boire ainsi qu'une trousse de premier secours si jamais le jeune Akito se blaissait. Il prit aussi un telephone qu'il enfoui au fond du sac. Il alla chercher la manteaux du jeune homme et pris egalement des gans et une echarpe. Le coq etait très prevoyant mais on se savait jamais ce qu'il pouvais se passer avec Akito.Il pris son manteau et rejoignit le chef de famille.

"Tout es prêt Akito si vous desirez toujour y aller, je suis prêt à sortir si vous vous en sentez toujours capable bien sur."

Akito toisa kureno. Sa dernière reflexion ne lui avait pas plus. ses yeux se rétrécirent et sa bouche se pinça.

"Sous-entendrais-tu que tu m'es supérieur simplement parce que tu es en bonne santé et que je viens d'être malade? Car si c'est effectivement le cas, laisse moi te rappeler qui est le chef de famille!"

Il passa alors sa main sur la joue du coq avant de le griffer violement. Il haissait par dessus tout que les douzes fassent preuve de défiance à son égard. Il les voulait tout dévouer à son bien être! après tout, à quoi pouvaient-ils bien servir autrement! Il éclata alors d'un rire hystérique. Il rit encore et encore, humiliant un peu plus Kureno. Puis il se reprit et lui arracha le manteau des mains. Sans un regard pour ce dernier, il se mit lentement en route prenant le temps d'admirer la nature environnante.
Après un quart d'heure de promenade, ils arrivèrent enfin au lac! Akito désigna du doigt un vieux chêne et ils s'y installèrent en dessous. Le jeune homme s'allongea sur la couverture, s'appuya sur un coude et onserva kureno en silence.

Kureno ne dit rien quand Akito le griffa il ne sourit pas son viage resta neutre. Mais au fond il etait fiere de lui,le chef de famille avait craqué après sa remarque.Il avait donc suivi le jeune Akito dans la montagne sans se plaindre. Il n'en avait pas besoin en effet le jeune garcon ne marchait pas très vite et surtout celui prenais son temps pour observer la nature.
Akito decida de s'arreter près de lac.Kureno sortit la couverture la deplia et l'installa conscient que le chef de famille ne le lachait pas des yeux.Des que la courverture fut ettallé il se releva et tourna les yeux doucement vers Akito.

"Voila c'est installé que voulez vous faire Akito si vous avez faim j'ai des gateaux et du thé dans une thermos.Voulez vous vous reposez un peu pendant que je fini ce livre pationnant!

Biensur Kureno savait au fond de lui que ses paroles etait ironique c'est pour cela qu'il sourit gentiment. Il ne voulais pas que le jeune garcon s'ennerve non pas qu'il eu peur de ses colère car il y etait habitué mais quand il s'ennervais Akito etait plus sensible et pouvais donc retomber malade.Et le Coq ne se voyait pas le porter jusqu'au chalet bien qu'il en soit sans doute capable.

Akito écouta Kureno lire le roman. Bla bla bla. Il s'ennuyait à mourir. Il bailla à se décrocher la machoire et se laissa tomber sur le dos. De là, il voyait le ciel et les oiseaux. Il les observa sans rien dire tout en surveillant du coin de l'oeil son compagnon de promenade. Il se demandait ce que pouvait bien penser le coq et s'il en était capable!

"Dis-moi Kureno.....que penses-tu de ce livre? Le trouves-tu intéressant?"

Il venait de trouver un nouveau jeu pour de distraire et sa victime serait le malheureux coq! Il se leva et avança doucement vers le lac. Arrivé au raz de l'eau, il enleva ses chaussures et continua à avancer dans l'eau froide. Il ne réagit pas au contact du liquide continuant encore et encore à s'enfoncer plus profondément dans les eaux. Quand elle lui arriva à la taille, il marqua un temps d'arrêt. Il se retourna vers Kureno et le regarda sans mot dire avec un lèger sourire aux lèvres.

Kureno avait lu le livre choisi par Akito sans interruption. Quand le jeune garcon l'interronpi pour lui demander ce qu'il pensait. Cette question le rendit perplexe. Jamais au par avant le chef de famille ne lui avait demandé son avis sur quoi que ce soit. Il prit une petite pause pour repondre. Il baissa les yeux sur le livre et commenca à parler.

"Je n'aime pas ce livre, je le trouve mal ecrit et ennuyeux.

Quand le Coq releva la tête le jeuen Akito n'etait plus là, non il etait partit dans la lac. Deja il enlevait ses chaussures , Kureno cru que selui allait s'arrétté au raz de l'eau mais non. Le jeune chef de famille ne s'arreta pas là bien au contraire il continua à marcher dans l'eau.Kureno se leva et courru près de l'eau.

"Que faite vous Akito, vous savez que vous êtes malade et je doute cette petite baignade arrange votre santé.Vous devriez sortir.

Kureno commenca à retiré ses chaussure et à rentré dans l'eau pour aller chercher le jeune garcon. L'eau etait assez froide mais cela n'empecha pas le Coq de continuer à avancer, le froid ne le genait pas.Il arriva près d'Akito et le regarda sans rien dire.[/b]

Akito ne bougeait pas d'un pouce. Il gisait au milieu du lac grelottant de froid. pas question de céder à Kureno. Il ne lui ferait pas ce plaisir. Jamais de la vie. Il se contenta de rester là, immobile, le regardant avec des yeux inexpressifs. Puis il fit un pas en arrière et un autre.... L'eau finit par lui arriver à la poitrine! plus kureno approchait, plus il reculait!
A un moment, son pied glissa sur un rocher qui tapissait le fond et akito perdit l'équilibre. Il commença à boire la tasse. Il s'agita dans tous les sens. En effet, il n'avait jamais appris à nager! Il était en train de se noyer. Cependant, il ne voulait pas appeler le coq à l'aide. pas question de faire preuve de faiblesse face à un des douzes! Même s'il savait que ce dernier n'irait surement pas s'en vanter!
L'eau envahissait à présent ses poumons et il avait de plus en plus de mal à respirer. Une mort lente et douloureuse commençait à faire son oeuvre! Il entreperçut une dernière fois le visage de Kureno et perdit connaissance!

Kureno avait rejoint rapidement le jeune chef de famille il se depecha de lui prendre un bras pour commencer à le sortir de l'eau mais le Coq avait hesité pendant quelques secondes. Après tout il aurait pu le laisser là mais cela ne faisait pas partie des choses que Kureno pouvait faire alors il tira le jeune homme maintenant inconscient.Il le prit dans ses bras et retourna sur la terre ferme. Il l'allongea sur la couverture, Kureno ne connaissait rien à la medecine il se contenta de regarder si le jeune homme respirait ce qui etait le cas. Il l'abandonna quelques seconde pour aller chercher le telephone au fond du sac. Il n'y avait helas pas de reseaux. Il enroula alors Akito dans la couverture et le pris dans ses bras avec le telephone.
Il commenca à marcher, sans se fatiguer pour pouvoir tenir la distance.Il arriva bientot près du chalet et appella un medecin avant le telephone qui captait de nouveau. Il lui dit de le retrouver au chalet Soma.Quand enfin le Coq arriva il confia Akito au medecin et partis de nouveau au lac pour aller chercher les affaires qu'il y avait laissé.Puis il revint au chalet avec les affaires qu'il avait recupérés au lac.

Akito ouvrit les yeux et regarda autour de lui. Il se trouvait allongé sur un futon dans une chambre du chalet. Sur le coup, il ne comprit pas ce qu'il faisait là puis la mémoire lui revint. Il ressentait encore l'étreinte froide des eaux sur son corps et frissonna. Sa peau était gelée et le bouts de ses ongles avait bleuis lors de sa mésaventure. Il tenta de se relever avec peine et s'asseyit tant bien que mal. Il n'y avait personne à son chevet, pas même Kureno. Cette néglignece le mit de très très mauvaise humeur. Un preuve de plus que les douzes se fichaient éperdument de sa santé. ela ne se passerait pas comme ça! pas question de les laiser se moquer de lui plus longtemps. Il attrappa une clochette posée à côté de lui et la secoua de toutes ses forces.

"J'exige de voir Kureno sur le champ!"

Dit-il entre deux quintes de toux.

Kureno etait rentré quelques minutes au par avant ,il discutait avec le medecin qu'il remercia de s'etre deplacé avant d'aller voir le jeune malade.Il arriva dans la chambre où on l'avait expedié. Il ne souriait pas ,son visage semblait fatigué.

"Vous vouliez me voir Akito,je ne pouvais pas etre près de vous car j'etais le seul a savoir où etait nos affaire que j'ai du laissé precipitament pour vous ramenez."

Il fit un pause il avait insisté sur le mots et montrait qu'un aucun cas il ne s'excuserais car il ne se sentait pas en faute par rapport au jeune chef de famille.

"Vous vous sentez bien? Le medecin vient de me dire que cela aurait pu etre becoup plus grave!Mais maitenant il va falloir rentré au manoir. Je viens d'appeller Hatori pour le prevenir mais il n'etait pas là. Mais j'ai laissé un message à Momiji qui le previendra."

Kureno avait recité sa lecon, maintenant il allait devoir abordé le sujet du retour et ne voulu pas trop contrarier le jeune garcon encore fragile.

"Des que vous vous sentirez un peu mieux après cette aventure nous partirons ."

Ce n'etait pas une question c'etait un affirmation il ne voulais pas laisser le choix au jeune Akito.

Akito leva un sourcil face au ton autoritaire de kureno. C'était bien la première fois que le jeune homme se permettait ce genre de remarque et il trouvait cela fort déplaisant. Il se redressa du mieux qu'il put et répliqua vertement.

"Comment oses-tu me parler sur ce ton! Tu oublies que je suis ton dieu et que tu me dois le respect! J'exige que tu me présentes des excuses immédiatement!"

Il se leva en titubant et s'approcha tel un homme ivre de kureno. Il le saisit par le col et planta son regard empli de colère dans celui du jeune homme. Puis, tout devint flou et noir. Akito venait à nouveau se sombrer. Il s'écroula dans les bras du coq avant d'avir eu le temps de lui donner une correction de son cru.

Kureno avait vu la colere monté chez le jeune chef de famille qui avait tituber jusqu'à lui. Le Coq s'appretait à repondre mais sans s'excuser car le Coq ne conciderait pas qu'il avait tort dans cette histoire. Mais avant qu'il ai eu le temps d'ouvrir la bouche Akito s'etait effondré dans ses bras. Kureno soupira , il pris le garcon dans ses bras et le remis dans son lit, et se dit qu'il faurdrait finir par l'attaché si ca continuait. A cette pensé le Coq rit doucement mais se repris . Il n'appella pas le medecin qui l'avait prevenu d'enventuel rechute.

Il s'installa non loin du garcon sur une chaise dans l'ombre avec un livre plus par habitude que par envie de lire. Il regardait le chef de famille qui finirait par se reveiller et à qui il faurdrait donner une expliquation. Il prefera ne pas penser à cela et tenta de se concentrer sur sa lecture. Il entendait en bruit de fond la respiration reguliere d'Akito, il avait pris un de ses livres beaucoup plus interressant que celui d'Akito.

Mais le Coq ne parvenait à ce concentrer sur le livre ,trop de pensées se bousculait dans son esprit. Tout d'abord Akito il pensait ce que Shiguré kui avait dit sur son evolution et l'opinion du chef de famille. Puis il se mit à penser à son existance qui avait été boulversé par l'entré de la jeune fille qui maitenant occupait le plus clair de ses pensées. Il se mit un peu à l'ecart du chef de famille endormis. Il s'appuya à la fenetre les yeux dans le vagues,la piece deriere lui avait disparu pour lui.

Lorsqu'Akito ouvrit les yeux, Kureno était toujours assis près de la fenêtre en train de révasser. Cela le rassura de le voir ainsi. C'était bien la dernière personne qu'il voulait perdre. Si le coq devait le quitter, jamais il ne s'en remettrait! Il se dressa sur un coude et l'appella doucement.

"Kureno!.....Viens près de moi!........j'ai froid!"

Et il se mit réellement à grelotter. Il tenta de s'asseoir mais fut alors prit par une violente quinte de toux. Hatori n'allait surement pas être content. Il était à nouveau malade. Mais après tout, une fois de plus ou une fois de moins qu'est-ce que cela changeait au fond? De toute façon, il n'en avait plus pour longtemps! Il trouva que le jeune homme était long à arriver. Il leva alors sur lui un regard ou pointait un soupçon de mécontentement.

"j'ai froid!........Viens me réchauffer!"

Kureno n'avait même pas entendu Akito se réveiller, il ne prit conscience de sa présence que quand celui ci l'appela près de lui.
Le Coq ne dit rien ,il obeit et se détacha lentement de ses rêves,pour revenir durement à la réalité. Il rejoignit lentement le chef de famille peu importe si celui ci ce mettais à grogner de toute facon il n'avait pas la force de trop s'énerver sur lui.
Le Coq arriva près du lit où était étendu Akito il s'y assit tout près du jeune homme

"Je suis là Akito.

Kureno avait parlé de sa voix habituelle posée très calme presque un murmure. Kureno était un peu perdu dans ces moment là il ne savait jamais trop quoi faire avec le chef de famille qui était fort sensible. Il fallait répondre à ses moindres ordres mais ne pas en faire ou plus ou au contraire deviner ce qu'il fallait faire.
Kureno glissa donc lentement a coté du chef de famille pur être totalement allongé à côté de lui. Il le pris dans ses bras sans trop le serré et resta comme ça étendu sans bouger.

Akito se pelotonna contre le jeune homme à le recherche d'un peu de chaleur. Il aimait sentir la présence du coq à ses côtés. Sans lui, il se sentait complètement perdu voire désespéré. Il posa sa tête tout contre sa poitrine et ferma les yeux. Son esprit se détendit alors qu'une douce chaleur l'envahissait. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il était en paix avec lui-même et le reste du monde.

"Dis Kureno?.........Tu ne me quitteras jamais, hein? Je ne veux pas être seul! Jamais!"

Il releva doucement le visage et planta son regard noir dans celui du jeune homme. Il se serra davantage et passa ses bras autour de sa taille. Les minutes passèrent rapidement et Akito s'assoupit dans les bras du coq.

Kureno n'avait rien dit aux paroles d'Akito, il s'etait contenté d'aquiecer de la tête, le visage neutre. . Comme si tous cela n'avait aucune importance pour lui. Le Coq etait habitué au comportement de son maitre , toujours cette envie de se sentir aimé ,le coq avait apris à vivre avec . Il ne pouvait pas se plaindre la vie avec Akito avait beaucoup de defauts mais celui ci pouvait parfois se montrer très doux avec lui. Très gentils, mais c'etait toujours des moment dont il fallait se mefier car avec Akito tout pouvais changer d'une seconde à l'autre.

Il sentit le jeune garcon s'endormir. Il prit sa tête qu'il posa delicatement sur un oreiller. Le Coq se leva et se mis à preparer leurs affaires. Kureno avait pris la decision de rentrer au manoir,il avait consulté le medecin qui n'avait pas emmit d'avis defavorable à se voyage. Kureno fit preparer la voiture. Une fois que tout fut près il remonta dans le chambre calme du jeune famille. Il resta un instant à la porte de la chambre regardant Akito , si paisible, le silence n'etait troublé que par sa respiration reguliere. Il enveloppa le chef de famille dans une couverture , et le pris dans ses bras. Il refusa toute aide et alla jusqu'à le voiture. Il place delicatement le chef de famille à l'arriere de la voiture ,s'assura de son confort. Il salua le personel et se mit au volan . Il appella Hatori pour les prevenir de leur retour et partis, jetant un dernier regard au magnifique paysage qui maintenant semblait deriere eux, tout comme le calme et la serenité que le Coq aurait aimé avoir.