Maison de Miyuki

La maison de Miyuki se trouve juste en face de celle de Kana. Elle est assez grande bien que Miyuki y vit seule. Depuis la mort de sa mère, la décoration a étée vendue et il n'y a dans le salon que quelques meubles et au centre une petite table basse. Un tableau représentant une sirène est accrochée dans le salon, Miyuki ne s'est pas résolut à le vendre car il était l'objet préféré de sa défunte mère.
Si le salon et les autres pièces paraissent austères, la chambre de Miyuki n'en est rien. Le bleu domine toute la pièce qui est la plus spacieuse des trois chambres de la maison. Une grandes bibliothèques sembles être le seul objet de distraction. Il possède toute la collection des livres de Shiguré Sôma, "les soupirs de l'été" est la plus imposante. Mais l'objet qui possède le plus de valeur dans cette pièce c'est indéniablement le magnifique et encien katana, le seul cadeau que lui ait offert son père. Celui-ci est accroché au dessus de son lit. Une peluche en forme de chat ajoute à la pièce un aspect enfantin et aussi par le peu d'objets féminins.

[RESERVE A RITSU]

Visite

Par un bel après-midi de printemps, Miyuki avait passé la matinée à faire de sa maison un lieu d'extrême propreté, ce qu'elle n'avait pas fait depuis longtemps déjà. En effet elle recevrait la visite pour la première fois de son ami Ritsu. Miyuki décendit de sa chambre (la dérnière pièce où elle fit le ménage) et alla à la cuisine dans l'intention de préparer du thé. En passant par le salon elle s'arrêta un instant pour vérifier qu'il ne réstait pas le moindre milimètre de poussière. Ceci fait elle continua son chemin. Elle mit la bouilloire d'eau sur le feu et retourna dans le salon pour encore faire quelques vérifications.

Elle avait tellement hâte qu'elle n'avait pas dormi de la nuit. En passant devant le miroir elle s'arrêta net et après une longue réflexion décida de changer de vêtement. Elle s'approcha un peu plus du miroir et se regarda attentivement. Miyuki n'avait pas l'habitude de se contempler ainsi mais pour l'occasion pourquoi ne pas faire un petit effort supplémentaire ? Ses cheveux étaient parfaitement coiffés comme à l'accoutumée mais ceci n'était pas dut au dur labeur de la jeune fille mais leur raideur avait toujours était ainsi autant qu'elle s'en souvienne.

A ce moment là, au moment où elle s'y attendait le moins, on sonna à la porte. Prise de panique après un sursaut de quelques centimètres elle courut en direction de la porte manquant de peu d'y arriver dans une longue glissade.

[edit Kaj : j'ai mi le titre de facon plus visible ^^]

Ritsu avait été invité dans la maison de Miyuki, il était existé et même temps il avait un peu peur. Le jeune homme marchai tranquillement dans la rue, il chercher un petit cadeau as offrir à la jeune fille. D’un coup il vit une bijouterie, et décida d’y enter. Il y avait plein de magnifique objet de belle bague, de belle boucle d’oreille….Mais Ritsu flasha sur un superbe bracelet en argent! Le jeune espéré que le bracelet aller plaire à Miyuki, Il se dirigea vers la bijoutière et donna les sous. La jeune femme lui donna le bracelet dans une magnifique boîte, qu’elle emballa dans un papier cadeau à la demande du jeune homme. Ritsu marcha dans les allé de la demeure Sôma, sans savoir où il allait. Puis il se rappela que la jeune fille lui avait donné un papier avec son adresse dessus. Après quelques minutes il trouva en fin la maison de Miyuki, mais hésita à sonner à la porte, il resta environ deux minutes devant la porte de la jeune fille avant d’enfin sonner. Miyuki lui ouvrit presque tous de suite, Ritsu s’aperçus après que la jeune fille avait faillit tomber.

« Es ce que ça va ? Oh euh… bonjour euh…..tien c’est pour toi !! »

Et il tendit la boîte à Miyuki. Ristu ne savait absolument pas quoi dire car il n’avait jamais était invité chez une autre personne. Puis il attenta que la jeune fille prenne le bijou.

Miyuki ouvrit la porte d'un coup sec manquant de se la prendre dans la figure. Ses yeux se posèrent sur Ritsu. Celui-ci avait l'air aussi angoissé qu'elle. C'était la première fois qu'elle invitait quelqu'un chez elle.
Elle sentit son coeur bondir de joie lorsque Ritsu lui tendit un paquet.
Elle n'osa pas le prendre car elle n'en crut pas ses yeux. Ses mains devant sa bouche, elle ne put s'empêcher d'avoir les larmes aux yeux. Un cadeau....Depuis combien d'annnées déjà n'en avait-elle pas reçu ? Ni pour son anniversaire et encore moins pour noël.

"Ri-chan...un cadeau...pour moi ? Tu es sure ?Mais tu n'aurais pas du, qu'est ce qui t'a pris voyons ?"

Elle était tellement émue par ce geste qu'elle resta un moment à se demander si cela était vraiment réel. Après un long silence elle le pris et le mit contre son coeur.

"......merci...."dit elle avec sa plus grande reconnaissance.
Elle lui sourit.
Elle pouvait pour une fois, dire qu'elle avait un ami.

[HJ:Miyuki ne sait pas que Ritsu est un garçon.^__^]

Ritsu souris en voyant Miyuki pleurai de joie, le jeune homme se douta qu’il devait y avoir longtemps qu’elle n’avait pas eu de cadeau, puis la jeune fille commença à parler se qui réveilla Ritsu de ses penser. Après avoir écouté se que la jeune fille lui dit, il lui répondit :

« Oui, c’est pour toi, pourquoi ? Tu n’en veux pas, sa ne te plait pas, attend je vais les rapporter !!! Je suis désoléééééééééé, j’aurai te demandai avant !!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Dit en commencent à s’affolait. Il n’entendit même pas la fille le remercier, car c’était trop tard Ritsu était paniqué ! Le jeune homme coura dans tous les sens, puis il faisait le tour de la maison de Miyuki, pour enfin finir à se dirigeait dangereusement vers elle. Mais il ne vit pas que le nœud de son kimono c’était défait et il marcha dessus, se qu’il fit tombait en direction de la jeune fille.

Miyuki ne comprenait pas ce qui se passait. Il n'y avait aucune raison de s'affoler ainsi. Mais elle était désormais habituée aux réactions particulières de Ritsu. Elle le regarda calmement faire le tour de la maison. Elle était un peu perdue. Comment l'arrêter ? Miyuki voulait lui dire qu'il avait tort, que le cadeau lui plaisait vraiment beaucoup même si elle ne l'avait pas encore ouvert. Prise au dépourvu, elle vit Ritsu s'approcher dangereusement d'elle. S'il continuait il finirait par tomber et se faire très mal. Il n'en était pas question pour Miyuki ! S'il se blessait alors qu'il lui rendait gentillement visite, elle se sentirai profondément coupable.

(Oh non !!!!!!!!)

La ceinture de son magnifique kimono venait de se détacher et il se rapprocha très rapidement. Elle tendit les mains sans hésitation vers lui, dans l'unique but de le sauver d'une mauvaise chute. Il était maintenant à quelques centimètres d'elle. Miyuki souriait déjà. Elle avait tendu les bras au bon moment, elle fut maintenant sure qu'il ne se ferait pas mal.
Mais le pire était dèjà arrivé, il était à présent impossible de retourner en arrière. Tout se passa en une fraction de seconde. Ritsu atterit bien dans les bras de Miyuki. Celle-ci le sentit contre elle puis...

"POF"

Un grand bruit d' explosion retentit et elle sentit Ritsu plus léger. Infiniment plus léger ! Elle plissa les yeux pour essayer de mieux voir l'état de Ritsu. Qu'est ce qui avait produit un tel bruit à dix centimètres de son visage ?
Lorsque la fumée se dissipa ses yeux se figèrent d'horreur. La raison pour laquelle Ritsu était à présent plus léger s'expliqua d'elle même. Celle-ci était simple: là où il se trouvait se tenait...

(UN SINGE ??!!!!!)

Il tremblait de tout ses membres dans les bras de la jeune fille.
Comment était-ce possible ? Où était Ritsu ? Que faisait ce singe ici ?
Il n'y avait qu'une raison qui pouvait expliquer cet étrange évenenement.
Mais Miyuki ne voulait pas y croire. C'était tellement....improbable !!
Toujours muette de stupeur, elle n'osait bouger. Un tas de questions se bousculaient dans se tête.
Finalement une domina les autres : était-cela le secret du clan Sôma ?

Hatori marchait d’un bon pas sur l’allée du jardin qui entourait les demeures principales des Soma. Ayant fini son travail en tant que médecin pour la journée, il avait décidé de se promener un peu au milieu des arbres pour se changer les idées et décompresser un peu. Laissant ses pensées aller à la dérive, il ne faisait pas vraiment attention à ce qui l’entourait, se contentant de suivre paisiblement du regard les feuilles qui voletaient et virevoltaient au gré de la brise de l’après-midi, mêlées aux pétales de couleur pastel.
Il respira à plein poumons l’odeur particulière qui régnait dans le jardin, parfum de terre humide, de fleurs de printemps, et d’herbe fraîche. Il ferma même un instant les yeux, savourant cet instant de silence privilégié… avant de les rouvrir d’un coup, très inquiet : quelqu’un avait crié !
Et, bien qu’il n’en soit absolument pas certain, il avait cru reconnaître les hurlements hystériques de Ritsu… Si c’était le cas, il n’y avait pas vraiment de quoi s’affoler, Ritsu faisait régulièrement des sortes de « crises d’inquiétude » pour pas grand chose.
Mais, sans doute par conscience professionnelle, Hatori préféra s’en assurer et se dirigea rapidement vers la maison d’où s’élevait les cris. Le temps qu’il y parvienne, les hurlements s’étaient tus, ce qui le fit hésiter devant la porte. Devait-il entrer pour s’assurer que personne n’était blessé ou continuer sa promenade ?
Le Dragon fronça les sourcils. N’était-ce pas la maison de l’un des orphelins dont il avait la charge dans le manoir ?Il frappa, et comme personne ne répondait tout de suite, il prit la liberté d’entrer dans la maison, la porte n’étant pas fermée.
La gêne qu’il ressentait à s’introduire sans y être invité dans une habitation se dissipa aussitôt lorsqu’il vit, au milieu de la pièce, un tableau pour le moins insolite : Miyuki, une des orphelins Soma, assise à terre avec sur les genoux… un petit singe doré que le médecin reconnut aussitôt !

(Oh, non, Ritsu !)

Hatori se précipita dans la pièce, accablé par cette vision. Il imaginait très bien ce qui avait dû se passer : en s’affolant pour on ne savait quelle idiotie, Ritsu avait dû tomber dans les bras de la jeune fille et s’était ainsi transformé. En fait, ce n’était pas ce qui s’était passé qui la chagrinait, mais bel et bien les conséquences…
Réagissant aussitôt, pour s’empêcher de penser à ce qu’il allait devoir faire, Hatori prit le singe dans ses bras, ramassa ses vêtements, puis déposa « le tout » dans la pièce d’à côté, le temps que Ritsu reprenne forme humaine. Il ne manquerait plus que le jeune homme se retrouve nu devant Miyuki, il en ferait une syncope !
Hatori referma la porte sur le Singe, se mordant les lèvres pour ce qu’il allait faire. Alors qu’il venait à peine de se remettre d’avoir effacé la mémoire de Chanjio…
Le Dragon s’approcha de la jeune fille, s’agenouilla auprès d’elle.

Je suis désolé. Tu n’aurais jamais dû voir ça. Pardonne-moi…

Il leva une main un peu tremblante vers Miyuki, se reprit aussitôt pour poser sa paume sur le front de la lycéenne. Ne pouvant se résoudre à affronter son regard, il cacha ses yeux de ses doigts, avant de murmurer :

Ne t’inquiètes pas, tu ne sentiras rien.

Il ne savait pas si c’était vrai. Tous ceux qui auraient pu le dire l’avait oublié. Se maudissant mille fois pour ce qu’il allait encore commettre, il se concentra. Miyuki sombra à l’instant dans un profond sommeil ; le médecin la rattrapa avant qu’elle touche le sol, puis la coucha délicatement sur un fauteuil.
Puis Hatori regarda les yeux fermés de l’orpheline avec un soupir douloureux, désespéré par ces souvenirs qu’il avait encore arrachés, cette ronde infernale d’effacements de mémoire qui semblait n’en jamais finir, et qui l’accablaient, l’écrasaient à chaque fois un peu plus avec la culpabilité qu’ils faisaient irrévocablement naître en lui…

Comment réagir face à une telle situation ?
Miyuki n'osait bouger, ou plutôt elle n'arrivait plus à bouger. Il lui sembla qu'une éternité s'écoula jusqu'au moment où elle entendit quelques pas près de la porte d'entrée. Quelqu'un entra et Miyuki reconnut cette personne tout de suite. Hatori venait surement de comprendre ce qui venait de se produire car après qu'il se soit arrêté un instant pour analyser la scène, il pris le singe qui était sur ses genoux et l'emmena dans la pièce à côtè qui était aurtefois la chambre de ses parents. Il avait également pris les vêtements de Ritsu.
Miyuki, toujours incapable de prononcer la moindre parole , voulait sans le pouvoir expliquer à Hatori ce qui venait de se produir, ou même le bombarder de questions. Lui, il devait surement savoir ! Il revint et s'agenouilla près d'elle.
Mais quelque chose frappa Miyuki.
De quoi était-il désolé ? Ce n'était pas sa faute mais bien celle de Miyuki ! Il est surement vrai égalment qu'elle n'aurait jamais dû voir cela. Mais....

(...pourquoi a-t-il l'air si triste ?)

Elle réussit enfin à s'éxprimer.

Mais, mais non voyons, c'est moi qui devrai vous demander pardon !! Vous n'avez rien......fait......

Il leva une main vers son front, ce qui l'avait surprise. "Ne t'inquiète pas, tu ne sentira rien." Certes elle était inquiète, mais que disait-il par"tu ne sentira rien" ?
Elle eut l'impression qu'elle recut un coup de foudre quelque part au milieu du front. Elle se sentit aussitôt s'endormir. Dans son someil, elle se sentait plus calme et appaisée. Comme si on venait de lui ôter un tourment qui la rongeait.